LE THEATRE SAINT-MARTIN DE VIENNE PRESENTE
TAILLEUR POUR DAMES
de Georges FEYDEAU
A la fin du XIXème siècle, deux beaux messieurs trouvent indispensable de tromper leur épouse.
On peut résumer ainsi le propos de Feydeau.
Avoir une maîtresse ne permet pas seulement de se laisser charmer par une autre femme que la sienne. Il s’agit aussi de se mettre en accord avec les particularités de la vie sociale de l’époque telle que la montre les théâtres dits de boulevard.
Sur la scène, on se trompe à tout va, on court en chemise, en caleçon, ou en jupon dans les couloirs des hôtels. Et dans la salle, on s’esclaffe.
« Tailleur pour dames » ne montre pas d’amants cachés dans les placards. Les adultères, de quiproquos en quiproquos, s’y croisent sans jamais aboutir à l’extase, au grand dam de ces messieurs.
Ils voudraient bien lier des idylles avec, faute de mieux, les femmes de leurs amis. Mais elles sont réticentes. Parfois, bien sûr, elles cèdent ou envisagent de céder. Ça occupe le temps.
Ces pratiques bourgeoises causent hélas plus de dégâts que de plaisir.
Mais c’était la coutume, c’était l’habitude durant ces dizaines d’années qu’on appelle aujourd’hui la belle époque.
Une fois de plus, Feydeau puise à qui mieux-mieux dans les situations saugrenues du monde qui l’entoure et les ridiculise férocement avec sa virtuosité comique.
Un spectacle de Lucien Vargoz
Musique de Jean-Pierre Cohen
Lumière de Jocelyn Pras
Régie de Gilles Damond
Avec
Marie-Pierre Billioud, Pascale Imbert,
Annie-Claude Sauton, Anne Vivran,
Alain Caillot, Benjamin Escoffier, Eugène Giuliani,
Lucien Vargoz.
THEATRE DU PETIT MANEGE
Espace Saint-Germain de Vienne
(A gauche du grand Manège)
30, avenue du Général Leclerc
38200 VIENNE
TAILLEUR POUR DAMES
LE THEATRE SAINT-MARTIN DE VIENNE PRESENTE
TAILLEUR POUR DAMES
de Georges FEYDEAU
A la fin du XIXème siècle, deux beaux messieurs trouvent indispensable de tromper leur épouse.
On peut résumer ainsi le propos de Feydeau.
Avoir une maîtresse ne permet pas seulement de se laisser charmer par une autre femme que la sienne. Il s’agit aussi de se mettre en accord avec les particularités de la vie sociale de l’époque telle que la montre les théâtres dits de boulevard.
Sur la scène, on se trompe à tout va, on court en chemise, en caleçon, ou en jupon dans les couloirs des hôtels. Et dans la salle, on s’esclaffe.
« Tailleur pour dames » ne montre pas d’amants cachés dans les placards. Les adultères, de quiproquos en quiproquos, s’y croisent sans jamais aboutir à l’extase, au grand dam de ces messieurs.
Ils voudraient bien lier des idylles avec, faute de mieux, les femmes de leurs amis. Mais elles sont réticentes. Parfois, bien sûr, elles cèdent ou envisagent de céder. Ça occupe le temps.
Ces pratiques bourgeoises causent hélas plus de dégâts que de plaisir.
Mais c’était la coutume, c’était l’habitude durant ces dizaines d’années qu’on appelle aujourd’hui la belle époque.
Une fois de plus, Feydeau puise à qui mieux-mieux dans les situations saugrenues du monde qui l’entoure et les ridiculise férocement avec sa virtuosité comique.
Un spectacle de Lucien Vargoz
Musique de Jean-Pierre Cohen
Lumière de Jocelyn Pras
Régie de Gilles Damond
Avec
Marie-Pierre Billioud, Pascale Imbert,
Annie-Claude Sauton, Anne Vivran,
Alain Caillot, Benjamin Escoffier, Eugène Giuliani,
Lucien Vargoz.
THEATRE DU PETIT MANEGE
Espace Saint-Germain de Vienne
(A gauche du grand Manège)
30, avenue du Général Leclerc
38200 VIENNE
LE THEATRE SAINT-MARTIN DE VIENNE PRESENTE
TAILLEUR POUR DAMES
de Georges FEYDEAU
A la fin du XIXème siècle, deux beaux messieurs trouvent indispensable de tromper leur épouse.
On peut résumer ainsi le propos de Feydeau.
Avoir une maîtresse ne permet pas seulement de se laisser charmer par une autre femme que la sienne. Il s’agit aussi de se mettre en accord avec les particularités de la vie sociale de l’époque telle que la montre les théâtres dits de boulevard.
Sur la scène, on se trompe à tout va, on court en chemise, en caleçon, ou en jupon dans les couloirs des hôtels. Et dans la salle, on s’esclaffe.
« Tailleur pour dames » ne montre pas d’amants cachés dans les placards. Les adultères, de quiproquos en quiproquos, s’y croisent sans jamais aboutir à l’extase, au grand dam de ces messieurs.
Ils voudraient bien lier des idylles avec, faute de mieux, les femmes de leurs amis. Mais elles sont réticentes. Parfois, bien sûr, elles cèdent ou envisagent de céder. Ça occupe le temps.
Ces pratiques bourgeoises causent hélas plus de dégâts que de plaisir.
Mais c’était la coutume, c’était l’habitude durant ces dizaines d’années qu’on appelle aujourd’hui la belle époque.
Une fois de plus, Feydeau puise à qui mieux-mieux dans les situations saugrenues du monde qui l’entoure et les ridiculise férocement avec sa virtuosité comique.
Un spectacle de Lucien Vargoz
Musique de Jean-Pierre Cohen
Lumière de Jocelyn Pras
Régie de Gilles Damond
Avec
Marie-Pierre Billioud, Pascale Imbert,
Annie-Claude Sauton, Anne Vivran,
Alain Caillot, Benjamin Escoffier, Eugène Giuliani,
Lucien Vargoz.
THEATRE DU PETIT MANEGE
Espace Saint-Germain de Vienne
(A gauche du grand Manège)
30, avenue du Général Leclerc
38200 VIENNE
TAILLEUR POUR DAMES
LE THEATRE SAINT-MARTIN DE VIENNE PRESENTE
TAILLEUR POUR DAMES
de Georges FEYDEAU
A la fin du XIXème siècle, deux beaux messieurs trouvent indispensable de tromper leur épouse.
On peut résumer ainsi le propos de Feydeau.
Avoir une maîtresse ne permet pas seulement de se laisser charmer par une autre femme que la sienne. Il s’agit aussi de se mettre en accord avec les particularités de la vie sociale de l’époque telle que la montre les théâtres dits de boulevard.
Sur la scène, on se trompe à tout va, on court en chemise, en caleçon, ou en jupon dans les couloirs des hôtels. Et dans la salle, on s’esclaffe.
« Tailleur pour dames » ne montre pas d’amants cachés dans les placards. Les adultères, de quiproquos en quiproquos, s’y croisent sans jamais aboutir à l’extase, au grand dam de ces messieurs.
Ils voudraient bien lier des idylles avec, faute de mieux, les femmes de leurs amis. Mais elles sont réticentes. Parfois, bien sûr, elles cèdent ou envisagent de céder. Ça occupe le temps.
Ces pratiques bourgeoises causent hélas plus de dégâts que de plaisir.
Mais c’était la coutume, c’était l’habitude durant ces dizaines d’années qu’on appelle aujourd’hui la belle époque.
Une fois de plus, Feydeau puise à qui mieux-mieux dans les situations saugrenues du monde qui l’entoure et les ridiculise férocement avec sa virtuosité comique.
Un spectacle de Lucien Vargoz
Musique de Jean-Pierre Cohen
Lumière de Jocelyn Pras
Régie de Gilles Damond
Avec
Marie-Pierre Billioud, Pascale Imbert,
Annie-Claude Sauton, Anne Vivran,
Alain Caillot, Benjamin Escoffier, Eugène Giuliani,
Lucien Vargoz.
THEATRE DU PETIT MANEGE
Espace Saint-Germain de Vienne
(A gauche du grand Manège)
30, avenue du Général Leclerc
38200 VIENNE