Portrait de Réda Caire ----------------------------------------------------------------
Un portrait in absentia -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Ce spectacle de chansons a été créé à l'occasion de Marseille Provence capitale européenne
de la Culture et encore jamais présenté à Paris.
Quatre vrais-faux techniciens de théâtre et leur guest s'emparent, titre par titre,
du dernier récital du surnommé "Prince de la chanson", premier arabe de
la chanson française, grand rival de Tino Rossi
et initiateur d'Yves Montand : Réda Caire. Une plongée jubilatoire et brillante dans
100 ans de Music-Hall, de La Paloma à Charles Aznavour et Léo Ferré,
en passant par Henri Contet, Bernard Dimey...
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Sa vie d’artiste
Reda Caire, tête d’affiche prisée des Parisiens et véritablement adulée par les Marseillais et les
Provençaux amateurs d’opérettes pendant 20 ans, est aujourd’hui largement tombé dans l’oubli.
Pourtant, tout en lui le rapproche de notre époque : interculturel, sexuellement libre et assumé.
Né au Caire en 1905, d’un père appartenant à l’aristocratie égyptienne et d’une mère française native
d’Enghien-les-Bains, il était arrivé à Marseille avec ses parents en 1923.
Il débuta à 21 ans à L’Alcazar de Marseille, en lever de rideau du jeune Fernandel.
Après un premier succès dans une opérette donnée à Lyon en 1927,
il monte à Paris, où il chantera à l’Eldorado aux côtés d’Yvette Guilbert, et où il figurera dans plusieurs opérettes,
dont Azor aux Bouffes parisiens en 1932, aux côtés d’Arletty. Puis il rencontre Moyses,
le directeur du Boeuf-sur-le-Toit (repaire de Cocteau et de ses amis du Groupe des Six) qui lui propose d’y faire
son premier tour de chant. C’est avec Azor, donné cette fois au Théâtre des Variétés en 1933, qu’il
conquiert définitivement le public de Marseille, où il enchaîne opérettes, revues et tour de chant sans discontinuer.
A Paris en 1937-38, il partage la vedette avec Mistinguett dans la revue Féérie de Paris au Casino de Paris ;
joue dans plusieurs films, donne des tours de chant, enregistre beaucoup.
Le Hall de la chanson Parc de la Villette - Pavillon du Charolais - 211, Avenue Jean Jaurès 75019 Paris
Reda Caire
Portrait de Réda Caire ----------------------------------------------------------------
Un portrait in absentia -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Ce spectacle de chansons a été créé à l'occasion de Marseille Provence capitale européenne
de la Culture et encore jamais présenté à Paris.
Quatre vrais-faux techniciens de théâtre et leur guest s'emparent, titre par titre,
du dernier récital du surnommé "Prince de la chanson", premier arabe de
la chanson française, grand rival de Tino Rossi
et initiateur d'Yves Montand : Réda Caire. Une plongée jubilatoire et brillante dans
100 ans de Music-Hall, de La Paloma à Charles Aznavour et Léo Ferré,
en passant par Henri Contet, Bernard Dimey...
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Sa vie d’artiste
Reda Caire, tête d’affiche prisée des Parisiens et véritablement adulée par les Marseillais et les
Provençaux amateurs d’opérettes pendant 20 ans, est aujourd’hui largement tombé dans l’oubli.
Pourtant, tout en lui le rapproche de notre époque : interculturel, sexuellement libre et assumé.
Né au Caire en 1905, d’un père appartenant à l’aristocratie égyptienne et d’une mère française native
d’Enghien-les-Bains, il était arrivé à Marseille avec ses parents en 1923.
Il débuta à 21 ans à L’Alcazar de Marseille, en lever de rideau du jeune Fernandel.
Après un premier succès dans une opérette donnée à Lyon en 1927,
il monte à Paris, où il chantera à l’Eldorado aux côtés d’Yvette Guilbert, et où il figurera dans plusieurs opérettes,
dont Azor aux Bouffes parisiens en 1932, aux côtés d’Arletty. Puis il rencontre Moyses,
le directeur du Boeuf-sur-le-Toit (repaire de Cocteau et de ses amis du Groupe des Six) qui lui propose d’y faire
son premier tour de chant. C’est avec Azor, donné cette fois au Théâtre des Variétés en 1933, qu’il
conquiert définitivement le public de Marseille, où il enchaîne opérettes, revues et tour de chant sans discontinuer.
A Paris en 1937-38, il partage la vedette avec Mistinguett dans la revue Féérie de Paris au Casino de Paris ;
joue dans plusieurs films, donne des tours de chant, enregistre beaucoup.
Le Hall de la chanson Parc de la Villette - Pavillon du Charolais - 211, Avenue Jean Jaurès 75019 Paris
Portrait de Réda Caire ----------------------------------------------------------------
Un portrait in absentia -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Ce spectacle de chansons a été créé à l'occasion de Marseille Provence capitale européenne
de la Culture et encore jamais présenté à Paris.
Quatre vrais-faux techniciens de théâtre et leur guest s'emparent, titre par titre,
du dernier récital du surnommé "Prince de la chanson", premier arabe de
la chanson française, grand rival de Tino Rossi
et initiateur d'Yves Montand : Réda Caire. Une plongée jubilatoire et brillante dans
100 ans de Music-Hall, de La Paloma à Charles Aznavour et Léo Ferré,
en passant par Henri Contet, Bernard Dimey...
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Sa vie d’artiste
Reda Caire, tête d’affiche prisée des Parisiens et véritablement adulée par les Marseillais et les
Provençaux amateurs d’opérettes pendant 20 ans, est aujourd’hui largement tombé dans l’oubli.
Pourtant, tout en lui le rapproche de notre époque : interculturel, sexuellement libre et assumé.
Né au Caire en 1905, d’un père appartenant à l’aristocratie égyptienne et d’une mère française native
d’Enghien-les-Bains, il était arrivé à Marseille avec ses parents en 1923.
Il débuta à 21 ans à L’Alcazar de Marseille, en lever de rideau du jeune Fernandel.
Après un premier succès dans une opérette donnée à Lyon en 1927,
il monte à Paris, où il chantera à l’Eldorado aux côtés d’Yvette Guilbert, et où il figurera dans plusieurs opérettes,
dont Azor aux Bouffes parisiens en 1932, aux côtés d’Arletty. Puis il rencontre Moyses,
le directeur du Boeuf-sur-le-Toit (repaire de Cocteau et de ses amis du Groupe des Six) qui lui propose d’y faire
son premier tour de chant. C’est avec Azor, donné cette fois au Théâtre des Variétés en 1933, qu’il
conquiert définitivement le public de Marseille, où il enchaîne opérettes, revues et tour de chant sans discontinuer.
A Paris en 1937-38, il partage la vedette avec Mistinguett dans la revue Féérie de Paris au Casino de Paris ;
joue dans plusieurs films, donne des tours de chant, enregistre beaucoup.
Le Hall de la chanson Parc de la Villette - Pavillon du Charolais - 211, Avenue Jean Jaurès 75019 Paris
Reda Caire
Portrait de Réda Caire ----------------------------------------------------------------
Un portrait in absentia -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Ce spectacle de chansons a été créé à l'occasion de Marseille Provence capitale européenne
de la Culture et encore jamais présenté à Paris.
Quatre vrais-faux techniciens de théâtre et leur guest s'emparent, titre par titre,
du dernier récital du surnommé "Prince de la chanson", premier arabe de
la chanson française, grand rival de Tino Rossi
et initiateur d'Yves Montand : Réda Caire. Une plongée jubilatoire et brillante dans
100 ans de Music-Hall, de La Paloma à Charles Aznavour et Léo Ferré,
en passant par Henri Contet, Bernard Dimey...
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Sa vie d’artiste
Reda Caire, tête d’affiche prisée des Parisiens et véritablement adulée par les Marseillais et les
Provençaux amateurs d’opérettes pendant 20 ans, est aujourd’hui largement tombé dans l’oubli.
Pourtant, tout en lui le rapproche de notre époque : interculturel, sexuellement libre et assumé.
Né au Caire en 1905, d’un père appartenant à l’aristocratie égyptienne et d’une mère française native
d’Enghien-les-Bains, il était arrivé à Marseille avec ses parents en 1923.
Il débuta à 21 ans à L’Alcazar de Marseille, en lever de rideau du jeune Fernandel.
Après un premier succès dans une opérette donnée à Lyon en 1927,
il monte à Paris, où il chantera à l’Eldorado aux côtés d’Yvette Guilbert, et où il figurera dans plusieurs opérettes,
dont Azor aux Bouffes parisiens en 1932, aux côtés d’Arletty. Puis il rencontre Moyses,
le directeur du Boeuf-sur-le-Toit (repaire de Cocteau et de ses amis du Groupe des Six) qui lui propose d’y faire
son premier tour de chant. C’est avec Azor, donné cette fois au Théâtre des Variétés en 1933, qu’il
conquiert définitivement le public de Marseille, où il enchaîne opérettes, revues et tour de chant sans discontinuer.
A Paris en 1937-38, il partage la vedette avec Mistinguett dans la revue Féérie de Paris au Casino de Paris ;
joue dans plusieurs films, donne des tours de chant, enregistre beaucoup.
Le Hall de la chanson Parc de la Villette - Pavillon du Charolais - 211, Avenue Jean Jaurès 75019 Paris